
Célèbre site pornographique recherche skipper pour le prochain Vendée Globe
Actualités, Culture, Société, Tourisme Aucun commentaire sur Célèbre site pornographique recherche skipper pour le prochain Vendée GlobeOn dit merci qui ? Cette célèbre punchline est dans les starting-blocks pour faire le tour du monde sur la plus médiatique des circumnavigations. Après les vidéos en ligne, les produits dérivés, les magazines et le foot, le célèbre site de vidéos pour adultes Jacquie et Michel se lance à l’assaut de l’aventure Vendée Globe.
C’est un appel du pied qui est lancé aujourd’hui au monde de la voile par le diffuseur de contenu pour adultes, rendu célèbre dans les années 90 pour ses vidéos érotiques réalisées uniquement par des amateurs. Associer voile et pornographie, un défi impossible en 2018 ? Il n’y a qu’a regarder le nombre croissant de vidéos coquines tournées sur des pontons ou à l’abri des soutes pour en déduire le contraire. « Nos vidéos sont sans escales et sans assistance !», se prête à rire Hervé Laken, le responsable de la communication. Résolument blagueur, il ajoute : « On a pensé au golf, mais on avait peur des vannes sur les trous ». L’objectif est d’élargir la visibilité de la marque et de renouveler son auditoire. Mais aussi de soigner sa communication autour d’une épreuve fédératrice et mondialement connue, surmédiatisée d’édition en édition.
« Nous savons que certains skippers finissent par vendre leur maison pour boucler le budget Vendée Globe. Nous proposons une alternative financière intéressante et l’opportunité d’une image qui marquera la course et impactera le navigateur comme aucun autre concurrent. ».
Il est prévu dans les clauses du contrat de sponsoring que la ou le skipper devra fournir un contenu vidéo quotidien selon un cahier des charges strict, tenu secret aujourd’hui. Le mystère plane mais les spéculations vont bon train sur ce que le candidat devra faire.
Aujourd’hui, il se murmure sur les pontons du Port Olona que plusieurs concurrents en lice pour 2020 sont particulièrement intéressés et prêts à tenter l’aventure pour participer de nouveau à l’Everest des Mers. Alors quand on sait comment il est difficile de boucler un budget et de trouver des sponsors à la hauteur de l’investissement, « on dit merci qui » ?