
Il y a 4.000 ans, on a la preuve que l’homme se faisait déjà chier à Jard-sur-Mer
Actualités, Tourisme Aucun commentaire sur Il y a 4.000 ans, on a la preuve que l’homme se faisait déjà chier à Jard-sur-MerJard-sur-Mer – Après la découverte d’un squelette vieux de plus de 4.000 ans, non loin de Jard-sur Mer, les scientifiques ont, non seulement pu constater que l’être humain avait déjà colonisé cette région plus de 2.000 ans avant Jésus Christ mais également que, dans ce qui allait beaucoup plus tard, devenir le département de la Vendée, les soirées étaient déjà à l’époque sérieusement tristes.
En effet, comme l’a clairement avoué le responsable des fouilles de l’INRAP, Jean-Michel Deriveau, la position fœtale du squelette donne aujourd’hui beaucoup d’informations à qui sait les interpréter. Cet homme, vieux de 4.000 ans, arrivé tout droit de l’âge du bronze, est mort de tristesse et d’ennui, à n’en pas douter. Il n’avait rien autour de lui, n’a été enterré qu’avec des vêtements du quotidien et sa mâchoire, même réduite à l’état d’os laisse voir qu’il ne respirait pas la joie. Comme le dit Jean-Michel Deriveau, on se faisait déjà chier à Jard-sur-Mer en 4.000 avant J.C. Et depuis tout ce temps, rien n’a véritablement changé. Les week-ends sont d’une tristesse à pleurer, les bars ferment à 19h00, les restaurants deux heures plus tard et plusieurs pétitions ont été lancées par les retraités de la commune afin que le bruit soit interdit avant 11h00 et après 17h00. Par décision préfectorale, les scooters des jeunes doivent être électriques et tenus à la main, le conducteur devant être à pied, pendant toute la traversée des rues du centre-ville. On parle même que le marché de la commune va prochainement accepter les anciens francs afin de satisfaire sa population âgée.
La mission scientifique qui procède aux fouilles s’interroge à ce jour. Ne doit-elle pas remettre dans le sol le squelette retrouvé afin d’épargner à ce bougre arrivé des temps lointains une nouvelle déception. On se faisait déjà chier à Jard-sur-Mer voici 4.000 ans, pourquoi devrait-on lui imposer le même ennui alors que nous venons d’entrer dans le troisième millénaire ?